Plus que jamais, Omega a la cote. La forte croissance de la marque sur le marché du neuf est due en partie à l’explosion de la demande sur le marché du vintage. En effet, la tendance des dernières années a montré que les marques s’inspirent des designs de leurs pièces historiques pour concevoir les replique omega montres d’aujourd’hui. Et à défaut de pouvoir s’offrir les Speedmaster, Seamaster et autres Omega nouvelle génération, Pestel-Debord et son expert Jean-Christophe Guyon proposent d’acquérir les « originaux ». Pour moins de 4 000 euros, il est possible d’enchérir sur un chronographe réalisé en hommage à la mission spatiale Apollo Gemini XII (lot 65),replika órák sur le modèle de Speedmaster ayant voyagé sur la Lune (lots 66 et 71) ou encore sur des montres de plongée de type Seamaster de première génération avec des cadrans patinés terriblement vintage (lots 138 et 139).
Antiquorum lance la saison des ventes aux enchères de 2015 avec un catalogue riche en pièces de collection… artistiques ! Si la montre est considérée comme le bijou de l’homme, elle n’en demeure pas moins une oeuvre d’art lorsque sa création se voit confier à des artisans hors du commun. Gravure, émail, design, matériaux innovants… Les horlogers laissent parfois libre cours à leur imagination pour fabriquer des garde-temps prodigieux. Les collectionneurs ont donc rendez-vous le 7 février prochain à Hong Kong pour tenter d’acquérir une série de pièces exceptionnelles sous le marteau d’Antiquorum.
Équipée d’une répétition minute, d’un tourbillon « une minute » et d’un calendrier perpétuel rétrograde avec phases de lune, la référence 5016 a longtemps été la montre de poignet la plus compliquée des collections Patek Philippe, avant l’introduction de la célèbre Sky Moon Tourbillon 5002. Alors qu’elle a été produite entre 1993 et 2010, on compte seulement 200 pièces réalisées, dont une pièce unique en platine avec un cadran noir aux chiffres romains en or blanc. Ultime raffinement pour les initiés, le tourbillon de la manufacture genevoise est caché au dos de la replique montre.
Ce garde-temps, mis en vente à Hong Kong avec son certificat et sa boîte d’origine Patek Philippe, sa certification COSC et un second cadran en argent spécialement conçu pour lui, clôturera la session d’Antiquorum avec une enchère située entre 400 000 et 570 000 euros (lot 296).
Quand on pense aux métiers d’art dans l’horlogerie, le premier nom qui vient à l’esprit est celui de Vacheron Constantin. En 2007, la manufacture suisse lance la série « Métiers d’art Les Masques », une édition limitée à 25 sets de quatre montres dont les cadrans sont incarnés par des masques issus de différentes civilisations.rolex replika La toute première série sortie des ateliers Vacheron Constantin présente quatre modèles spectaculaires proposés aujourd’hui aux collectionneurs pour des enchères estimées entre 440 000 et 610 000 euros (lot 190).
La pièce en or rose arbore un masque indonésien tandis que celle en or blanc dévoile un masque d’Alaska et sa soeur en or jaune, un masque chinois. Enfin, la version en platine révèle un visage congolais.